PHOTOS TOUS DROITS RÉSERVÉS  
 
 
 
  GUILLAUME K. (Ostéopathe)
  …
  Il
  faut
  se
  représenter
  un
  fil
  attaché
  à
  notre
  tête
  et
  qui
  nous
  tire
  sans
  cesse
  vers
  le
  haut.
  Le
  bassin
  doit
  être
  projeté
  vers
  l'avant
  et
  le
  regard
  orienté
  au
  loin.
  On 
  ne doit pas regarder ses pieds, c'est le pied qui trouve le fil. Les mains doivent rester vivantes et en action jusqu'au bout des doigts. 
  La fixité des mains ou des doigts étant le révélateur d'un début de 
  fixité mentale provoquée par l'appréhension
  .
  De
  même,
  une
  autre
  recommandation
  porte
  sur
  
  la
  respiration.
  
  On
  doit
  veiller
  à
  respirer
  tranquillement
  mais
  sans
  jamais
  s'arrêter.
  Denis
  nous
  fait
  même 
  chanter sur le fil. Il dit que si l'appréhension survient, la note produite et les sons graves vont changer cet état. 
  … Denis insiste souvent sur le fait que chaque pas, chaque geste doit être entièrement contrôlé, assuré… 
  À
  mon
  grand
  étonnement,
  la
  marche
  avec
  le
  balancier
  vers
  l'avant
  ou
  en
  marche
  arrière
  est
  relativement
  aisée.
  
  Cette
  aisance
  constatée
  par
  chacun,
  le 
  fil fut monté à un mètre cinquante puis à la demande générale jusqu'à trois mètres… 
  … Comme chacun s'y attendait, l'aisance obtenue à 80 cm du sol, persistante à un mètre cinquante, s'effritait sans pitié à l'approche du sommet… 
  …
  J'ai
  constaté
  une
  euphorie
  exactement
  semblable
  à
  celle
  éprouvée
  lors
  du
  saut
  en
  parachute.
  
  Le
  désir
  d'y
  retourner
  séance
  tenante,
  n'était
  tenu
  en 
  échec, que par l'obligation de respecter le tour de chacun… 
  …
  Revenons
  au
  fil.
  La
  relation
  faite
  ici
  a
  pour
  motif
  l'étonnante
  congruence
  des
  propos
  de
  Denis
  avec
  ceux
  tenus
  par
  les
  enseignants
  d'aïkido.
  Denis
  dit
  que
  le 
  fil
  est
  notre
  miroir.
  
  Quand
  le
  fil
  bouge,
  quand
  le
  fil
  vibre
  et
  nous
  éjecte,
  ce
  n'est
  pas
  le
  fil
  :
  c'est
  nous-mêmes.
  Lorsque
  l'altitude
  nous
  perturbe,
  ce
  n'est
  pas 
  l'altitude,
  c'est
  notre
  peur
  que
  nous
  rencontrons
  .
  Si
  l'on
  tient
  en
  équilibre
  sur
  le
  fil
  à
  80
  cm,
  et
  que
  l'on
  n'y
  tient
  plus
  à
  six
  mètres,
  c'est
  que
  notre
  aptitude
  à
  y 
  tenir est perturbée par notre peur. 
  La
  difficulté
  que
  la
  situation
  installe
  n'est
  pas
  une
  difficulté
  d'ordre
  motrice,
  mais
  uniquement
  d'ordre
  émotionnel.
  Denis
  dit
  encore,
  "
  s'il
  y
  a
  une 
  difficulté,
  il
  ne
  faut
  pas
  s'y
  opposer
  ,
  il
  faut
  faire
  avec,
  il
  faut
  l'accepter,
  il
  faut
  la
  prendre,
  s’en
  faire
  une
  alliée
  ".
  S'il
  y
  a
  un
  obstacle
  il
  faut
  lui
  retirer
  son
  statut 
  d'obstacle.
  Il
  faut
  chercher
  son
  centre
  en
  soi-même
  et
  non
  sur
  des
  repères
  extérieurs,
  dès
  que
  l’attention
  est
  attirée
  par
  un
  problème,
  les
  actes
  se
  mettent
  à 
  converger
  sur
  ce
  problème.
  Il
  suffit
  donc
  d'envisager
  l'obstacle
  comme
  une
  composante
  à
  égalité
  de
  la
  situation,
  pour
  que
  nos
  aptitudes
  à
  le
  traiter
  ne
  soient 
  plus entravées par l'appréhension.
  BRICE M.
  J'attendais
  de
  ce
  "stage",
  une
  découverte
  du
  funambulisme,
  du
  défi
  de
  la
  hauteur.
  Je
  suis
  content,
  j'ai
  eu
  ce
  que
  j'attendais.
  J'ai
  grandi
  durant
  ces
  quelques 
  jours.
  
  Pour
  moi,
  le
  funambule
  est
  une
  catharsis
  qui
  te
  libère
  des
  tensions
  que
  tu
  t’es
  infligées.
   
  A
  la
  fois,
  ça
  te
  provoque,
  te
  bouscule
  mais
  aussi
  te
  rassure, 
  t'hypnotise,
  te
  libère.
  Quand
  j'ai
  dû
  faire
  la
  descente,
  je
  n'ai
  pas
  voulu
  me
  tourner.
  Je
  voulais
  affronter
  mes
  peurs.
  Pour
  moi,
  parfois
  c'était
  un
  combat
  entre
  moi 
  et
  le
  vide.
  Qui
  va
  gagner?
  Si
  je
  ne
  fais
  pas
  cette
  descente
  je
  déclare
  forfait.
  Quand
  tu
  es
  là-haut
  tu
  es
  obligé
  de
  faire
  tomber
  les
  barrières.
  Tu
  es
  comme
  nu, 
  tu es face a la vie, alors tu ne plaisantes pas avec cela ! 
  J'ai beaucoup aimé le fait de se remplir de pensées positives. 
  "je veux, je peux". C est une véritable construction de soi de faire du funambulisme. 
  J'ai
  tendance
  à
  douter
  et
  a
  être
  indécis.
  Avec
  le
  funambulisme,
  tu
  n'a
  pas
  le
  droit
  de
  douter
  ni
  d'être
  indécis.
  Le
  travail
  en
  hauteur
  et
  ta
  philosophie
  du 
  funambulisme
  m'a
  fait
  grandir
  et
  va
  me
  servir
  pour
  mon
  travail
  et
  dans
  ma
  vie
  de
  tous
  les
  jours.
  Je
  suis
  content
  d'avoir
  découvert
  cet
  art,
  qui
  est
  pour
  moi 
  plus un art de vivre. 
  Cela va devenir pour moi une aide dans la vie, 
  et dans mon activité professionnelle.
  HÉLÈNE L. (Chargée de communication)
  Héé Plic et Ploc 
  Avec 2 jours de recul, je suis d’attaque pour t’exprimer mes sentiments par rapport à 
  cette magnifique expérience. 
  Assez paradoxalement, deux sensations totalement opposées se sont côtoyées tout au long de la formation : 
  le plaisir intense et la PEUR ! 
  Le
  plaisir,
  je
  l’ai
  ressenti
  à
  maintes
  reprises
  :
  du
  haut
  du
  fil
  mais
  également
  à
  zéro
  mètre
  d’altitude,
  
  lors
  de
  nos
  discussions
  en
  fin
  de
  parcours
  (les
  pieds
  bien 
  scotchés sur la pelouse). 
  Tu as été très généreux dans tes paroles, dans la transmission de ton art et je t’en remercie ! 
  Comme
  tu
  l’as
  justement
  évoqué,
  ce
  qu’il
  me
  manque,
  c’est
  une
  certaine
  confiance
  en
  moi. 
  Tes
  mots
  ("Je
  veux
  et
  je
  peux",
  …)
  m’ont
  littéralement
  hypnotisée
  du 
  haut
  de
  mon
  câble
  et
  permis
  de
  relever
  les
  défis.
  J’y
  ai
  consacré
  toute
  mon
  énergie,
  il
  était
  important
  pour
  moi
  de
  ne
  pas
  me
  décevoir
  et
  d’effectuer
  la
  traversée 
  finale à 6 m de haut. 
  Je
  t’avoue,
  j’ai
  ressenti
  cette
  traversée
  comme
  un
  énorme
  moment
  de
  douleur.
  J’aurais
  certainement
  pu
  me
  dégonfler
  en
  faisant
  l’impasse…
  Mais
  ce
  n’est
  pas 
  dans mon caractère, j’aime aller au bout des choses ! 
  Là-haut,
  je
  me
  suis
  sentie
  très
  mal
  :
  l’incertitude,
  le
  vide,
  la
  hauteur,
  mes
  jambes
  tremblotantes,
  les
  mains
  moites,
  …
  n'en
  sont
  que
  quelques
  facteurs…
  Je
  me 
  suis
  conditionnée
  pour
  y
  parvenir.
  J’ai
  laissé
  de
  coté
  ma
  conscience
  rationnelle
  pour
  pouvoir
  affronter
  toutes
  ces
  peurs.
  Mais
  les
  vibrations
  de
  ta
  voix
  et
  tes 
  mots
  m’ont
  portée
  et
  permis
  de
  réaliser
  la
  prouesse
  !
  
  Le
  plus
  difficile
  fut
  de
  repartir
  dans
  l’autre
  sens…
  J’étais
  à
  2
  doigts
  de
  renoncer
  !
  Mais
  merci
  de 
  m’avoir encouragée. 
  Voilà 
  je dresse un bilan chamboulant et totalement positif à la fois… 
  En
  tant
  que
  débutante,
  ton
  enseignement
  m’a
  convaincue,
  j’applaudis
  !
  Merci
  pour
  ton
  empathie,
  j’aime
  la
  connexion,
  que
  tu
  noues
  avec
  l’étudiant,
  à 
  croire qu’il y a un petit neurone nommé "Denis" qui se promène dans notre cerveau.
  LAURENCE T.-V. (Québécois)
  Un
  énorme
  merci,
  pour
  cette
  merveilleuse
  découverte
  et
  toute
  l'attention
  et
  l'investissement
  que
  tu
  nous
  as
  donné
  durant
  ces
  quelques
  jours
  vraiment 
  intenses
  et
  hauts
  en
  couleur.!!!
  Merci
  de
  m'avoir
  ouvert
  une
  porte,
  pour
  votre
  générosité
  et
  votre
  accueil
  chaleureux
  dans
  un
  site
  enchanteur
  qui
  fusionne 
  avec
  les
  fils
  rayonnants
  de
  toute
  leur
  splendeur.
  Cette
  expérience
  /
  immersion
  dans
  le
  monde
  du
  funambulisme,
  ton
  monde,
  fût
  d'une
  grande
  ouverture.
  Ça
  fait 
  bouger
  les
  émotions,
  
  réfléchir
  sur
  la
  paix
  intérieure.
  J'en
  ressors
  avec
  une
  plus
  grande
  confiance
  en
  moi,
  
  au
  niveau
  de
  ma
  pratique
  et
  une
  plus
  grande 
  force intérieure et personnelle. 
  Ce voyage et ce premier pas à des hauteurs encore inexplorées ont été très formateurs. MERCI !!!
  DIXIE C. de N. (Avocate)
  Merci pour ces moments de fortes émotions... 
  j'ai vraiment passé un super moment sur le fil.
  ERIC D. (informaticien)
  …Suite
  au
  stage
  de
  début
  septembre
  et
  à
  tes
  conseils…
  dans
  ma
  vie
  au
  quotidien
  tout
  me
  paraît
  plus
  facile,
  je
  chantonne,
  je
  pense
  à
  être
  tendu
  "comme
  le
  fil", 
  pas plus pas moins. 
  Je
  parviens
  maintenant
  à
  traverser
  sur
  le
  fil
  avec
  les
  balanciers
  plus
  légers
  ce
  qui
  était
  pour
  moi
  impensable,
  le
  tout
  en
  m'amusant
  un
  peu
  des
  déséquilibres
  que 
  je
  rencontre,
  au
  lieu
  de
  me
  tendre
  pour
  tenter
  de
  "tout
  remettre
  en
  place".
  Je
  te
  remercie
  pour
  ta
  capacité
  à
  exprimer
  les
  ressentis
  à
  rechercher
  de
  manière 
  aussi limpide, c'est vraiment très utile et encourageant.
  SOPHIE M. (DRH)
  Je
  souhaitais
  te
  remercier
  pour
  ton
  implication
  si
  entière
  dans
  notre
  formation…
  La
  confiance
  que
  tu
  as
  placée
  en
  moi
  m'a
  permis
  d'en
  finir
  avec
  de 
  mauvais souvenirs. 
  Merci !!